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10 Clermont-ferrand
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Monfferand
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Monfferand: N.D. de Prospérité
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Clermont: place de la Victoire; UrbainII
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Clermont: place de la Victoire; UrbainII
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La cathédrale N.D. De Clermont
Son Architecture
Le terme de cathédrale désigne l'église du diocèse, où se
trouve le trône (cathédre) de l'évêque, entouré de son
chapitre. Il s'agit donc pour ces édifices d'un "titre" et
d'une "fonction" n'entrainant aucune spécificité
architecturale propre à différencier cette église d'une
autre.
La cathédrale de Clermont est construite dans le style
gothique du Nord de la France: gothique rayonnant de la 2°
moitié du XIIIe siècle. Avec quelques particularités dues à
l'originalité et au génie de son architecte Jean Deschamp.
Il a élaboré les plans de plusieurs édifices an Sud-Loire.
La cathédrale de Clermont ayant été la première en date et,
si l'on ose le dire au risque de paraître chauvin, la plus
harmonieuse.
Trois autres édifices lui sont attribués avec une quasi
certitude. Ce sont les cathédrales de Limoges, de Rodez et
de Narbonne (voir la carte). On lui prête aussi celle de
Toulouse.
Commencée avec vraisemblance en 1248, sa construction s'étale
du XIIIe au XVe siècle. Elle sera achevée au XIXe siècle avec
une bonne homogénéité de style.
L'élévation
Elle se fait sur trois niveaux:
- en bas: les murs et les grandes arcades,
- au milieu: le triforium,
- en haut: les fenêtres hautes.
Les nefs
Deux rangées de cinq piliers soutiennent les voûtes de
chacune des cinq nefs (grande nef centrale et les deux fois
deux nefs latérales, au nord et au sud).
Les grandes arcades qui séparent la grande nef des autres sont
surmontées d'une galerie qui fait tout le tour de l'édifice:
c'est le triforium. Au dessus sont les fenêtres hautes.
le transept de la même hauteur que la grande nef, est lui-aussi
entouré à mi-hauteur du triforium. Ici éclairé de verrières
dans la partie nord et sud des bras.
Le choeur, le déambulatoire, les chapelles absidiales. Le sol
est surélevé, on y accède par quatre marches.
Le choeur est séparé du déambulatoire par les quatre travées
des grandes arcades que surmonte le triforium aveugle, puis les
fenêtres hautes.
Le déambulatoire est de la même hauteur que les grandes
arcades.
Les chapelles rayonnantes l'entourent, de même hauteur. Dix
s'ouvrent sur lui à l'est et au sud. Au nord, les trois
premières travées sont fermées pour loger la sacristie et un
petit local.
Le couvrement
la nef est recouverte de cinq croisées d'ogives barlongues
(plus larges que longues), comme les trois travées rectilignes
du choeur.
Le transept : les croisées d'ogive sont de plan carré dans sa
croisée et barlongues dans les bras.
Le choeur : dans sa partie la plus à l'est, est caractéristique
du gothique rayonnant. La clef de voûte centrale recueille
l'appui des huit nervures issues des piliers du rond-point,
nervures qui semblent s'épanouir en "rayonnant" autour
d'elle.
Le déambulatoire et les chapelles absidiales : de la même
hauteur que les grandes arcades, supportent le triforium (à
l'intérieur) et les terrasses (à l'extérieur).
Les matériaux
La cathédrale de Clermont est entièrement construite en
andésite (ou trachyandésite), roche noire ou gris foncé. Il
s'agit d'une pierre volcanique très dure de la famille des
diorites. Les carrières se situent près de Volvic, d'où le nom
local de "pierre de Volvic" qu'on lui donne en Auvergne. Ce
gisement fut seulement exploité à partir du XII / XIIIe siècle,
grâce aux nouveaux procédés de trempage de l'acier.
Ses dimensions
Elles sont relativement modestes comparativement à des édifices
comme Beauvais ou Amiens dont Jean Deschamp subit l'influence
pour y avoir vraisemblablement travaillé (Amiens surtout). De
même que sa soeur de Narbonne, plus courte mais plus large et
plus élevée. Ce sont les suivantes:
- longueur:
- totale y compris les escaliers extérieurs : 99m
- totale dans l'oeuvre : 82.75m
- nef et transept : 46.75m
- choeur, déambulatoie et chapelle axiale : 36m
- largeur:
- les cinq nefs et le transept: 32.70m
- la grande nef centrale: 12.50m
- hauteur:
- voute, au plus haut du transept: 28.70m
- nefs ltérales: 14.30m
- la tour de la Bayette: 50.70m
- les flèches à partir du pavé de la nef: 104m
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Clermont: place de la victoire
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Clermont: N.D. de l'Assomption
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Clermont: N.D. de l'Assomption
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Clermont: N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption
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Le choeur
Un joyau et une prouesse technique
La première impression est celle d'un ensemble architectural
harmonieux se suffisant à lui-même, ceci grâce aux proportions
du vaisseau cerné d'élégantes grilles aux dimensions imposantes
du maître-autel et à sa décoration fine et ordonnée. Ce
maître-autel est le lieu central comme une sorte de bijou
inséré dans une châsse par le chevet rond aux fines arcatures.
De ce lieu sacré le célébrant est immergé dans la majesté des
formes ainsi qu'a dans la richesse des ors de l'autel et le
chatoiement des vitraux.
Puis, en élevant le regard, vient une sensation de grande
légèreté et d'élévation grâce au surgissement de fines
colonnettes qui rejoignent la voûte et sont inondées de lumière
grâce aux immenses baies vitrées qui laissent peu de place aux
parois pleines; Mais, ne nous y trompons pas, c'est au prix
d'une technique très bien comprise et maîtrisée que les lourdes
voûtes de pierre reposent sur une telle cage de verre.
L'architecture
Ce qu'on appelle le choeur est en réalité composé de deux
parties : le sanctuaire et l'espace où se rassemblait le clergé
qui chantait les célébration liturgiques (cet espace contient
les salles).
Le choeur de la cathédrale a été bâti de 1248 à 1273 sur les
plans du maître d'oeuvre Jean Deschamps, bâtisseur de cinq autres
cathédrales. C'est l'un des plus beaux de France, le contemporain
exact de Beauvais et de Cologne, dimensions exceptionnelles en
moins. Le sanctuaire proprement dit devait être terminé lorsque
le Roi de France Louis IX, (devenu Saint Louis) vint y marier son
fils, Philippe le Hardi avec Isabelle d'Aragon (1262).
Le sanctuaire
Le sanctuaire est l'espace où se trouve le maître-autel, lieu
de la célébration eucharistique. Le sanctuaire est à sept pans
coupés. Six hautes colonnes, d'une rare élégance portent des
arcs brisés surhaussés. De minces nervures jaillissent aux
flancs des colonnes, traversent les chapiteaux, s'insérent
entre les baies du triforium, frôlent les fenêtres hautes et
rencontrent finalement les ogives de la voûte. Celles-ci, au
nombre de huit, s'inclinent harmonieusement vers une large clef,
décorée de feuillages, où elles vont se perdre. Aucune nervure
latérale ne vient épaissir les sveltes colonnes du rond-point,
de la même manière qu'à Beauvais.
Le choeur
Le sanctuaire est prolongé de trois travées droites de 5 mètres
de portée qui encadrent une nef de 12.33 mètres de largeur. Dans
ce rectangle de 15 mètres par 12 mètre de côté qui forme le
choeur, l'impression de largeur prédomine et se prête bien à
l'ordonnancement de processions à partir des stalles qui offrent
place à 54 clercs.
L'élévation du choeur est à trois étages : grandes arcades,
triforium, fenêtres hautes. Elle tend à se réduire à deux. La
galerie du triforium est en effet située dans le même plan
vertical que les baies et de faible hauteur si bien qu'elle
apparaît comme l'élément de base de celles-ci. On y retrouve le
même compartimentage, la même division bi ou tripartie. Les
colonnettes de la galerie et les meneaux de la fenêtre sont en
parfaite continuité. Ce triforium est cependant aveugle (sans
claire-voie). C'était, pour l'époque, un archaïsme. On le
retrouve, toutefois dans les cinq cathédrales bâties par Jean
Deschamps.
Le déambulatoire
Le déambulatoire entoure le choeur. Du côté nord une allée de
trois travées comporte des murs peints, l'orgue de choeur et
la porte de la sacristie (XVe siècle). Dans cet espace, on
s'arrêtera successivement devant:
- le tableau votif des Saints Crépin et Crépinien,
- Des peintures funéraires,
- La porte de la Sacristie du Chapitre,
- La chapelle Saint-Georges.
Puis, le déambulatoire contourne le sanctuaire vers l'est en
s'ouvrant sur cinq chapelles rayonnantes:
- La chapelle Saint-Austremoine,
- La chapelle Sainte-Madeleine,
- La chapelle Saint-Jean,
- La chapelle Saint-Bonnet,
- La chapelle Sainte-Anne.
Puis le déambulatoire passe au sud devant trois
chapelles :
- La chapelle Sainte Marguerite,
- La chapelle Sainte-Agathe,
- La chapelle Saint-Arthème,
Ces huit chapelles voient leurs baies ornées d'un somptueux
ensemble de vitraux dont la plupart datent du XIIIe siècle.
L'ensemble le plus homogène du XIIIe siècle se trouve dans
la chapelle Saint-Jean.
Dans la chapelle Sainte-Anne, la majorité des vitraux de la
fenêtre centrale est du XIIe siècle tandis que ceux des
fenêtres latérales sont du XIIIe siècle.
Enfin, le déambulatoire se termine sur le côté de la chapelle
Notre-Dame de l'Assomption dont l'accès donne sur le bras sud
du transept.
Les chapelles rayonnantes
Avec la chapelle Saint Austremoine commence la série des cinq
chapelles qui rayonnent autour du déambulatoire. Elles sont
logées entre les contreforts du chevet. Leur plan est très
original et ne se retrouve qu'à la cathédrale Saint-Etienne de
Limoges, oeuvre probable de Deschamps.
Chacune d'elles comporte une abside à cinq pans dont deux sans
fenêtres. En avant de cette abside, il y a une travée
rectangulaire, très étroite, mais pourvue d'une croisée d'ogives
indépendante. Les retombées se font sur un groupe de trois
colonnettes engagées, en saillie sur le mur. Cette petite travée
n'a d'autre but qu'esthétique : elle donne l'illusion d'une
plus grande profondeur.
À l'entrée des chapelles, de part et d'autre, un faisceau de
sept moulures rondes, de même diamètre, disposées en éventail,
montent jusqu'aux retombées des sept branches d'ogives, qui
convergent en ce point. Cette multiplication des lignes
verticales est tout à fait dans l'esprit du gothique
rayonnant.
On remarquera l'absence de toute arcature au bas des murs,
arcatures qui sont pourtant courantes dans les cathédrales du
nord. Par contre, Jean Deschamps a fait sculpter sur les deux
pans coupés aveugles un réseau de moulures identique à celui
des fenêtres voisines.
En se plaçant tout contre les balustrades des deux premières
chapelles rayonnantes, au nord comme au sud, on jouit d'un
excellent point de vue sur le choeur et l'enfilade des
bas-côtés.
Les cinq chapelles rayonnantes se succèdent du nord vers le
sud, après la chapelle Saint-Georges (peinture murales), avec
les particularités suivantes :
- Saint-Austremoine : autel et retable en bois doré,
vitraux du XIIe siècle de très belle facture,
- Sainte-Marie-Madeleine : fresques,
- Saint-Jean-Baptiste : mobilier, vitraux du XIIIe
siècle restaurés
- Saint-Bonnet : peintures murales
- Sainte-Anne : panneaux de vitraux du XIIe siècle
réemployés.
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption: le choeur
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N.D. de l'Assomption: le choeur
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Chapelle Sainte Agathe
Cette chapelle est actuellement dédiée à Sainte Anne
Le mobilier
Statue de Notre-Dame de Pitié en bois polychrome (1477) très émouvante
dans sa simplicité. Plaque de marbre noire, rappelant qu'en 1633 cette
chapelle avait été concédée à la famille de Champfiour pour y placer
sa sépulture. Cette famille eut un rôle important aux XVIe et au XVIIe
siècle tant dans le domaine religieux que dans celui de l'administration
royale.
Les peintures murales
Peinture murales découvertes en 1994 sur la paroi de gauche de la chapelle.
On voit derrière un retable
- au centre Crucifixion de Jésus,
- à droite Sainte Agathe,
- à gauche Saint Loup, évêque de Sens, reconnaissable à son pallium
brodé de croix noires (en souvenir de la participation de son diocèse
aux croisades).
Statues
Le Christ du Jugement Dernier. Avant la Révolution, cette statue était
adossée au tympan du portail nord. Du bras droit (perdu), le Christ faisait
un geste de la bénédiction. La main gauche est abîmée (doigts brisés) :
elle porte les stigmates de la crucifixion.
Avec la Vierge (Notre-Dame de Grâce) du trumeau du portail nord qu'abrite
l'église Saint-Pierre-des-Minimes, ce sont les seuls vestiges de la statuaire
monumentale des portails de la cathédrale sauvées des destructions
révolutionnaires. Découverte par hasard dans le narthex de la cathédrale
romane en 1852, elle fut remise au musée de la ville, puis restituée à la
cathédrale en 1978.
En dépit de l'amputation du bras droit qui déséquilibre la composition et
de mutilations partielles, nous avons ici un remarquable exemple de la
sculpture monumentale en France au tout début du XIVe siècle. C'est sans
doute vers 1270 que débute la construction du portail Nord. Selon l'usage
du temps, la mise en place des sculptures suivit de peu. Les statues de
ce tympan étaient toutes en pierre blanche, comme celle-ci.
Le style est très proche de celui de certains des ateliers rémois (étage
de la rose sur la façade de la cathédrale de Reims)
Les vitraux
Ils racontent la vie de Sainte Agathe. La jeune Agathe, vierge et martyre
originaire de Sicile où elle fut martyrisée au IIe siècle, elle devient
bientôt très populaire à Rome et dans tout l'Occident.
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N.D. de l'Assomption: vitraux du choeur
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N.D. de l'Assomption: maître-autel
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N.D. de l'Assomption: maître-autel
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N.D. de l'Assomption: chapelle Sainte Agathe
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Chapelle Sainte Anne
Cette chapelle est devenue la « chapelle funéraire des
évêques de Clermont » à la mort du premier évêque du XIXe
siècle, Monseigneur de Dampiere (mort en 1833). On a placé
dans cette chapelle une statue de Massillon agenouillé, le
célèbre évêque de Clermont au XVIIIe siècle (1719-1742),
cette oeuvre est du sculpteure Mabru (1942)
Mobilier
Retable baroque du XVIIe siècle, remanié au XIXe siècle et
transféré en 1992 dans cette chapelle. Ce retable présente
des statues en bois doré de Sainte Anne, Saint Joachim et
Saint Joseph.
Vitraux
Il n'y a pas d'unité dans les vitraux de cette chapelle.
Dans la fenêtre centrale ont été insérés d'exceptionnels
panneaux du XIIe siècle provenant de l'ancienne cathédrale
romane. Les verrières latérales sont du XIIIe siècle. Rien
n'y rappelle Saint Anne, patronne titulaire de cette
chapelle.
Les vitraux du XIIe siècle se trouvent dans la fenêtre
centrale. Les vitraux de cette époque sont rares : par des
études comparatives avec des vitraux datés connus dans
d'autres cathédrales, les spécialistes estiment que ces
vitraux ont été exécutés durant les vingt dernières années
du XIIe siècle. D'un cycle consacré à "l'Enfance du Christ",
il subsiste dix panneaux groupés par paires, avec des
médaillons alternativement carrés et ronds. La série n'est
pas complète. La palette du peintre est riche et subtile, à
la fois pour le tracé et les couleurs.
Fenêtre centrale
On lit le récit de bas en haut et de gauche à droite. Les
numéros ne sont plus ceux des rangées mais ceux des panneaux
(24 panneaux par fenêtre). L'enfance du Christ (vitraux du
XIIe siècle), panneaux divers du XIIe siècle, les quatre
autres panneaux supérieurs du XIIIe siècle représentent le
martyre de Saint Caprals, évêque d'Agen. Au sommet des
lancettes, à gauche, le Christ (XIIe siècle) à droite , la
Vierge Marie.
Chapelle Saint Bonnet
Cette chapelle est dédiée depuis le XIXe siècle à Notre-Dame
de Pitié
Le mobilier
En haut de l'autel, on voit une statue de Notre-Dame de Pitié
en bois polychrome de facture baroque (XVIIe siècle).
Les peintures
On trouve sur la paroi de gauche deux peintures funéraires
représentant:
- D'abord, le chanoine Thomas Basson mort en 1495 présenté
à la Vierge par son Saint patron
- Puis, sous une arcature trilobée, des chanoines coiffés de
l'aumusse et un clerc. Un ange les accompagne à l'entrée du
paradis. Ce sont tous des membres de la famille de Jeu (fin
du XIIIe siècle).
Les vitraux
Les vitraux racontent la vie de Saint Bonnet. Saint Bonnet fut
évêque de Clermont à la fin du VIIe siècle. Il appartenait à
l'aristocratie auvergnate. Après avoir reçu une éducation
raffinée, il fut nommé référendaire (premier ministre) à la cour
de Sigebert II, roi d'Austraste, à Metz de 634 à 656. Puis, il
fut nommé patrice (gouverneur) de Massilia (Marseille) de 656 à
689. A cette date, son frère Avit II, évêque de Clermont, sentant
sa fin prochaine le proposa comme son successeur, ce qui fut
accepté par l'Église et le Roi. Il fut évêque de Clermont durant
10 ans, puis donna sa démission pour se retirer au monastère de
Manglieu. Il mourut à Lyon au retour d'un voyage à Rome en
706.
La cathédrale a conservé jusqu'à la Révolution une très antique
chasuble que l'on disait avoir été donnée à Saint Bonnet par la
Vierge Marie. On verra que cet épisode légendaire a inspiré le
peintre-verrier (4e rangée de la fenêtre centrale)
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N.D. de l'Assomption: chapelle Sainte Anne
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N.D. de l'Assomption: chapelle Sainte Anne
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N.D. de l'Assomption: chapelle Saint Bonnet
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N.D. de l'Assomption: chapelle Saint Bonnet
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N.D. de l'Assomption: chapelle Saint Bonnet
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption: vitraux
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N.D. de l'Assomption: vitraux
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N.D. de l'Assomption: vitraux
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N.D. de l'Assomption: rosace
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N.D. de l'Assomption
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Chapelle de l'Apocalypse
Cette chapelle se rattache à la campagne des travaux de la
cathédrale (1866-1884) suivant les plans de Viollet-le Duc.
Cette chapelle était primitivement dédiée à Saint Zite, la
patronne des servantes dont on voit un épisode de la vie
sur la fenêtre placée au sud.
Les vitraux
Voir la fiche séparée qui décrit la fenêtre de "l'Apocalypse".
Le vitrail de la fenêtre située au sud représente un épisode
de la vie de Sainte Zite.Ce vitrail date du XIXe siècle.
La statue
Statue de la Vierge Marie. Cette statue en calcaire polychromé
sculptée par Pierre-Marie Froget en 1855 a été acquise par le
chanoine Craplet en 1980. Elle est d'un style néogothique.
Le terme de "Notre Dame de Grâce" lui a été donné en souvenir
de la statue située, avant la Révolution, devant le trumeau du
portail nord qui portait ce vocable. Cette Vierge, de facture
très fine, porte l'enfant Jésus, à l'attitude éveillée de son
bras gauche et tient une fleur de sa main droite.
Elle avait été déposée et cachée en 1793, en même temps que le
Christ-Juge du tympan nord. Retrouvée vers 1960 dans la crypte
de l'église Saint-Pierre-des-Minimes, elle est maintenant en
honneur sur un autel de cette église.
À droite de cette chapelle se trouve une statue de Saint
Augustin datée du XVIIe siècle. Ce saint a été identifié grâce
à son attribut particulier, un "coeur enflammé".
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption: plan montrant les différentes périodes de construction
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N.D. de l'Assomption
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N.D. de l'Assomption: chapelle de l'Apocalypse
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N.D. de l'Assomption: chapelle
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N.D. de l'Assomption
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Clermont: place de Jaude
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Clermont: place de Jaude
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Clermont: place de Jaude; Thêatre
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Clermont: place de Jaude
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Clermont: place de Jaude; Vercingétorix
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Clermont: place de Jaude; Vercingétorix
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Monfferand
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Monfferand
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Puy de dôme
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Puy de dôme
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Puy de dôme
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Puy de dôme
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Clermont-Ferrand
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Clermont-Ferrand
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Clermont-Ferrand
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Clermont-Ferrand
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Plateau de Gergovie
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Monument du plateau de Gergovie
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Monument du plateau de Gergovie
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Monument du plateau de Gergovie
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Séverine
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Clermont-Ferrand
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Clermont-Ferrand
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Clermont-Ferrand
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Le massif central
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Oppidum de Gergovie
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Les oppida arvernes du grand bassin clermontois
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Oppidum de Gergovie
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Oppidum de Gergovie
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Oppidum de Gergovie
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Plateau de Gergovie
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Oiseau
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